Voyage En Belgique, Vers L’Enfer. (17/20)

-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --

Il appelle la chambre, je n’entends pas tout ce qu’il leur dit, tout ce qui est sûr, c’est qu’ils nous demandent de les attendre, ils sont très satisfaits à nous rendre service.
Moins de 10 minutes après nous montons dans une magnifique Mercedes toute neuve.

• Merci de nous conduire ?
• Nous allons au même endroit, cela ne nous dérange pas, les s seront très heureux de voir les chevaux.

Toute la journée ils restent avec nous, même pendant le déjeuner, je résiste à monter sur un poney malgré les sollicitations de mes s et de nos nouveaux amis.
C’est dans l’enceinte du club que nous mangeons, mes s sont heureux, car même si ce n’est pas chez une grande marque de pain avec viande, ils sont assez succulants.
L’après-midi, dans les forfaits pris ce matin, il est prévu une balade en forêt d’une durée de 2 heures, je n’avais pas pensé que je ne les verrais pas pendant tout ce temps.
Je me retrouve perché sur un de ces animaux à pattes me demandant à chaque pas où et quand je vais rejoindre le chemin que nous remontons.
Nos amoureux se bécotent dès qu’ils le peuvent.

• Maman, c’est beau les amoureux, dommage qu’avec Papa, vous vous soyez séparés, pourtant quand j’étais toute petite, vous étiez aussi amoureux, vous n’arrêtiez pas de vous embrasser.

Ma fille a l’innocence de la jeunesse, si elle savait que ces baisées me dirigeait tout droit vers un de ces bordels.
Lorsque je descends du poney, mes fesses me font plus mal que lorsque deux ou trois clients me sodomisent.
Tout à une fin et il me faut rentrer pour prendre le train de nuit pour Paris et rejoindre Valenciennes pour 9 heures dernières délai demain.
J’embrasse mes s en leur disant à dans un mois, espérant les revoirs bien avant.
Dans le train à aucun moment, je ne croise pas Lucas qui a dû, lui aussi repartir vers Paris.


J’ai énormément envie de faire tous les wagons pour voir s’il ne rentre pas par le même train.
La peur d’une surveillance m’oblige à rester les fesses sur mon siège, le poney y est aussi pour quelques choses.
Je suis à l’heure à Valenciennes, Hugo et Olga sont là. Noémi n’est pas encore arrivée, j’avais espoir de la retrouver dans le train.
Annabelle, Alice, Nadège et Marjorie sont là, contrairement à la tension qu’il y avait la semaine dernière, je sens les filles plus détendues, je dépose ma valise et j’embrasse les quatre filles, ni Hugo, ni Olga ne réagissent.
Noémi arrive et comme moi place sa valise dans le coffre.
Pour lui faire comprendre les changements, je l’embrasse, une nouvelle fois Hugo ne bronche pas, les ordres seraient-ils venus d’en haut, je ne vais pas plus loin dans la provocation, n’ai-je pas rendez-vous ce soir avec Lucas.

Le voyage se passe sans problème, je retrouve maman qui me dit qu’il en est de même pour elle.
Dès 13 heures, il faut repartir au turbin.
Lorsque je monte avec mon premier client, j’ai un léger mouvement de répulsion que je n’avais pas eu les semaines précédentes, mon corps doit sentir que la fin de ce calvaire est proche où l’impression de tromper Lucas commence à me travailler.
Le moment de lui laver la queue mes particulièrement difficiles, il a payé pour me sodomiser, au moment où il m’enfile sa bite dans le cul, j’ai envie de ruer pour l’expulser, heureusement, je trouve une solution à ce problème.
Lucas vient de remplacer dans ma tête la bite du client par la sienne, c’est Lucas qui m’enfonce son vit aux fonds de mes entrailles, il me pénètre si bien que je jouis.
Pas un raz-de-marée mais la petite jouissance que certaines femmes voudraient ressentir, mais qui leur ait toujours refusé.
Toute l’après-midi, mon boy-friend me prend par tous les trous où l’on peut me remplir, chaque fois il me fait jouir.
Le vrai Lucas arrive, il est 22 heures, il va au bout du bar se fait servir un whisky.

Il le boit en prenant son temps.
Un client vient vers moi et me propose un No limite, depuis que j’ai été obligé de me prosti, je n’ai jamais refusé de monter un client !
Je n’ai aucun motif de lui refuser mon corps et je me lève pour le suivre, je hais mon ami de ne pas m’avoir fait monter dès qu’il est arrivé.
Quand je redescends, il est en train de parler avec maman, je le vois payer et venir vers moi.

• Venez ma fille, j’ai payé pour que nous soyons ensemble jusqu’à la fermeture.

Je regarde maman qui me fait signe de monter, je prends les deux jetons No limite et les mets dans ma boîte, arrivé dans la chambre, je n’ai pas la force et l’envie de nettoyer la queue de Lucas, d’autant quand il arrive, il s’allonge directement sur le lit tout habillé.

• Il faut te déshabiller, il arrive que des gars chargés de la sécurité entrent dans la pièce pour voir si tout va bien et s’ils nous trouvent habillés, ils vont trouver ça louche et le signaler à la patronne.

J’oublie de lui dire que ce n’est jamais arrivé, dans nos chambres à l'étage supérieur oui, ici jamais, les clients sont sacrés.
Je joins le geste à la parole et je me déshabille, je vois qu’il a un moment où il ne fait que me regarder avant de se lever et d’enlever ses affaires, il garde pudiquement son slip lorsqu’il me rejoint.
Lorsqu’il est allongé à mes côtés, je m’approche de son oreille et lui signal que tout s’est bien passé et qu’il n’y a rien à signaler.
En me rapprochant de son oreille, je fais un mouvement qui amène mes seins près de ses mains.
D’abord surpris, je sens qu’il ouvre sa main pour que sa paume reçoive mon sein comme dans une coupelle, il se garde bien de me le malaxer alors que j’ai envie de lui crier de lui faire mal parce que j’aime cela.

• As-tu des nouvelles de l’inspecteur ?
• Oui, il est arrivé tout à l’heure et nous nous sommes retrouvés dans un café du centre, il m’a simplement dit que les affaires avancent.


Parlé de l’inspecteur, c’est bien mais descendre ma main pour lui saisir le sexe à travers son boxer est plus intéressant, un instant surpris de mon geste, c’est lui qui avance sa bouche pour que l’on s’embrasse.
Je suis profondément touché par ce geste, même s’il est contraire à la déontologie de la maison, j'avais très peur qu’il se serve de sa No limite pour me baiser comme une simple prostituée.
Ce baisé me lave de toutes les salissures subies depuis que j’ai cédé à Hugo, il avance sa bouche vers mon oreille et me susurre.

• Léa, je n’ai pas touché et encore moins embrassé une femme depuis le décès de Pascale, je ne te ferais pas l’amour aujourd’hui, nous allons rester soudés l’un à l’autre jusqu’à ce que je sois obligé de te quitter.
• Demain, je te ferai l'amour, Léa veux-tu m’épouser, ce sera ma femme que je pénétrerais et non pas la femme obligée de vendre son corps.

Quand j’ouvre mes yeux sous ses baisers, il est l’heure de descendre, j’ai du mal à le laisser partir.
Dès que tous sont partis, toutes les filles viennent vers moi et je n’échappe pas à leurs quolibets.

• Agréable ton fiancé.
• Il doit t’avoir dans la peau pour te garder pendant deux heures.
• Comment baise-il, tu pourras me le prêter s’il revient.
• Stop, les filles, il est sympa, mais en ce qui concerne le sexe, j’ai tout fait toute seule, j’avais l’impression d’avoir un puceau dans ma couche, si vous trouvez drôle de dire que c’est mon fiancé, tant qu’il met des jetons noirs dans ma boîte, vos états d’âme, je m’en fiche.

Je suis contente de ma tirade, quand Lucas reviendra, je lui demanderais de payer deux ou trois bouteilles de champagne, à toutes les filles, il s’en fera des alliés.

Après avoir compté nos boîtes, nous retournons dans les chambres.
Marjorie m’entraîne dans sa chambre, je vois à ses yeux pétillant qu’elle est heureuse et veut m’annoncer quelque chose.


• Léa, j’ai rencontré quelqu’un.
• Qui ?
• Un homme bien sûr, j’aime bien vos chattes, mais je préfère le sexe d’un homme bien viril.
• Où, là tu rencontrée ?
• Dans un parc, j’ai remarqué qu’il me suivait, j’ai voulu voir, comment il était, j’ai ralenti et quand je les sentis sur mes talons, j’ai brusquement fait demi-tour.
• Les cinq secondes où je l’ai vu, il m’a conquis juste par son regard, j’ai fait de deux ou trois mètres et je me suis étalé de tout mon long, regarde, mon genou saignait.

Je lui prends la jambe et j’embrasse là où elle s’est fait mal, je n’ai pas le temps de continuer qu’un grand bruit fait vibrer la maison.
En moins de deux minutes, je me retrouve sur mon lit le poids d’un homme sur le dos, la pression se relâche et l’on me demande de m’habiller, il en est de même pour Marjorie, des menottes nous sont placées les mains devant nous.

• Descendez toutes !

L’ordre a claqué comme un coup de fusil, quand nous arrivons en bas, j’ai la surprise de voir avec des menottes, Pierre, Hugo, Olga, Maman, mon beau-père, ma belle-mère, les deux bouledogues, la barmaid et le jeune homme qui m’a emmené avec sa fiancée au poney club.
Rajoutée à tout cela les forces de l’ordre qui vont et viennent, Marjorie s’accroche à mon bras, elle est tétanisée.
Un inspecteur vient vers moi.

• Vous êtes Léa, les services français m’ont donné une photo de vous, pouvez-vous me désigner les filles qu’il travaillait et qui sont sous la coupe des proxénètes.
• C’est facile, Noémi, Anabelle, Marjorie, Alice, Nadège et moi sommes les cinq filles contraintes ici pendant le mois, ce sont celles qui portent le collier d’infamie que ces saligauds nous posaient quand ils avaient décidé de nous faire tapiner dans leurs bordels.
Il a ma mère comparée à nous ils lui ont fait vivre une vie de misère, regardez sous son foulard noir elle aussi à un collier presque délavé.
• Madame, il ne peut pas la soustraire au système judiciaire, dans le dossier que nous avons établi, elles sont les plaques tournantes entre les filles et ce groupe de personnes pourri que nous avons devant nous.
• Évacuez les filles !...

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